Après le départ du groupe 1, les 6 cyclos restants ont constitué le groupe 2, tous optant pour le moyen parcours. Aux Gaudières, Fabrice et Marcel se sont joints au groupe (Marcel invité de passage). Nous sommes donc partis à 8.
Vers Vaugondy la fraicheur matinale étant bien atténuée, un petit arrêt s'impose pour alléger les tenues.
Après le passage à Vernou, notre groupe est prêt à enchainer les 7 côtes répertoriées.
1ère bosse sérieuse, celle de Goguenne, suivie de 2 montées plutôt faciles (Bois de Chançay après le château de Valmer, et plus loin Vallée de Vau), ce qui nous fait revenir sur la D1 juste après Noizay.
A 1 km environ, nous voilà arrivés au pied de la 4ème bosse, celle de la Rochère : notre groupe est alors réduit à 7 éléments, Armand continuant seul sa route. C'est bien la bosse la plus difficile du parcours, 16% à son maximum.
Petite halte là-haut et opération photo devant l'entrée du chemin de vigne de Vernou.
(A noter que sur cette version de parcours au programme, nous n'emprunterons aucun chemin de vigne).
Après la Rochère, nous sillonnons à nouveau les petites routes très agréables du vignoble, sous un soleil magnifique, puis voici la 5ème bosse, celle de la Vallée Chartier.
Plusieurs groupes de cyclistes sont rencontrés tout au long du parcours, attirés par l'évènement PARIS-TOURS.
Au pied de la 6ème bosse, celle de Vouvray, assez longue mais peu pentue, le groupe est réduit à 6 éléments (Philippe rentrant seul de son côté).
7ème et dernière bosse répertoriée, celle de Rochecorbon, pas très longue mais bien raide.
C'est alors l'arrivée près de Tours sur les bords de Loire, au lieu-dit St Georges. Nous choisissons de rentrer jusqu'au Portillon sans emprunter le chemin de bord de Loire prévu au parcours, la circulation automobile étant peu gênante le dimanche.
Encore une dernière montée dans St Cyr par le Portillon, et notre petit groupe rejoint la Membrolle peu après midi.
Très belle sortie, certes exigeante, très conviviale, et avec une météo bien agréable.

Le groupe 1 est parti en premier, en prenant une allure soutenue dès le départ. Une séparation a eu lieu : 6 cyclos ont filé en direction du Nord.
Le groupe 1 restant, composé lui aussi de 6 cyclos, a avalé les premiers kilomètres d’une traite jusqu’à Reugny, où il fit une pause technique rapide afin de ne pas ralentir l’allure, se débarrassant des vêtements superflus. Puis, il traverse Montreuil en Touraine, St Ouen les Vignes et arrive à Pocé/Cisse.
Là, il récupère le fléchage officiel de Paris-Tours, qu’il n’abandonnera qu’une fois arrivé à St Cyr sur Loire dans la dernière montée du Portillon. Au programme, il lui reste 9 chemins de vigne sur les 10 et 7 côtes sur les 8 répertoriées.
Les premiers chemins de vigne se passent sans encombre, dans la poussière, puis le groupe enchaine les premières côtes. Il rencontre un groupe de Château- Renault, avec qui il a joué à cache-cache pendant quelques kilomètres, le groupe évitant les chemins de vigne. Après les premiers chemins de vigne, première crevaison, roue arrière de Thierry. La réparation fut vite exécutée, digne des pros. Puis le groupe repart, rattrapé par un autre groupe, qu’il perdra un peu plus tard du côté de la vallée Chartier.
Du côté du Château de Valmer, dans un virage à l’entrée du chemin de vigne, chute de Yann, heureusement sans gravité, il a dérapé sur les gravillons dans le virage. Les services techniques qui étaient en train de baliser l’entrée de ce virage et qui ont assisté à la scène ont promis de demander l’intervention d’une balayeuse pour nettoyer le chemin avant le passage des pros. Comme quoi, le passage des amateurs peut faire avancer la mise en place de mesures de sécurité. Après la vallée Chartier, nouvelle crevaison sur un chemin de vigne, toujours la roue arrière de Thierry. Que lui a-t-il fait pour qu’elle lui pourrisse sa sortie ?
Après quelques minutes d’effort de Thierry, ou de récupération pour les autres qui en ont profité pour se rassasier de raisins non encore vendangés, la roue est réparée toujours dans des délais canons et le groupe repart. Il arrive enfin à Rochecorbon, où il se sépare en deux, la moitié filant vers Notre Dame d’Oé ou Cerelles, l’autre moitié regagnant la Tranchée ou le Portillon, avant de rentrer à la maison dans des délais raisonnables, puisqu’il était environ 12 h 30.
Une sortie sous le soleil, dans la poussière, mais de l’avis de tous, à ne pas renouveler tous les dimanches, car éprouvante pour les organismes, et également pour les machines.