Dimanche 02 septembre 2018

Le groupe un s’est élancé à onze mais a été vite rattrapé par les cinq cyclos du groupe deux avec le jeu des feux tricolores, et à Mettray, un seul groupe existait. En haut de la côte, des adhérents attendaient leur groupe respectif. Un cyclo, habitué du premier groupe un, a étoffé le peloton mais un autre, souhaitant rouler avec le groupe deux, a raté le coche pensant trouver le groupe deux derrière. Hélas, la capitaine de route a annoncé un groupe deux qui suivait et n’a pas pu donner la bonne information car, à sa décharge, elle n’a pas pu voir le retour du groupe deux. C’est donc à dix-sept que le peloton a roulé jusqu’à Rouziers-de-Touraine ; là, les deux groupes se sont définitivement formés. Le premier a roulé à douze puis à onze, un élément préférant attendre le groupe deux qu’il a retrouvé un peu plus tard. Un peu avant Beaumont, ils en ont croisé l’autochtone qui leur a annoncé que huit cyclos roulaient devant, ce qui les a laissés bien perplexes ! Ils ont compris un peu plus loin, à la sortie de Marray, lorsqu’ils les ont repris : ils avaient simplement oublié le changement d’horaire de départ (MDR)
Petite discussion et le groupe un a repris sa route. A la croisée des parcours, ils ont fait l’habituelle pause technique. Après Crotelles, ils ont doublé une partie du groupe trois qui avait décidé de se scinder en deux au niveau de Beaumont. L’infortuné cyclo, qui n’avait pu récupérer le groupe deux à Mettray, en a profité pour finir avec eux. Le bal des retours à domicile a commencé à Chanceaux-sur-Choisille et le peloton est arrivé, ravi de sa sortie, à huit un peu après midi.

Le groupe deux était constitué de cinq personnes. Le départ s’est fait trop tôt par rapport au groupe un, ce qui a entraîné les flottements cités ci-dessus. Très vite, ses membres se sont trouvés éparpillés au sein du groupe et ce n’est qu’à Marray que le groupe de cinq s’est reconstitué. Juste après Le Sentier, une crevaison se présentait. Celui qui roulait en tête n’a pas entendu le signalement et a continué sa route en solitaire. En l’absence de chambre à air fiable, A. « en sauveur », a prêté la sienne et tout le monde est reparti. Au Boulay, il a été décidé de prendre un raccourci en se dirigeant vers Saint-Laurent-en- Gâtines, puis Nouzilly. Au stade, lle groupe s’est octroyé une petite pause pour regarder les vingt-quatre heures VTT. Reprise de la route et arrivée sans problèmes à La Membrolle après avoir parcouru un peu plus de soixante-dix kilomètres.
Conseil à retenir, petit scarabée : avant de partir, vérifie bien l’état de tes chambres à air de secours !

Quatre adhérents dont une invitée composaient le groupe trois au départ. A Mettray, deux cyclos dont un qui attendait le groupe deux et qui ne l’a jamais vu passer et pour cause, se sont joints au groupe. Celui-ci était au complet à sept, un peu plus loin. L’allure permettait à notre invitée de s’habituer. Un peu plus tard, le groupe a décidé de se séparer : trois sont partis en avant. Les quatre autres dont notre invitée ont continué sur le parcours de soixante-treize kilomètres qu’ils ont quitté à La Ferrière pour rejoindre directement Saint-Laurent-en-Gâtines où le cap était mis plein sud jusqu’à Monnaie. Là, la séparation commençait : retour at home à La Membrolle un peu avant midi après soixante-et-un kilomètres effectués.

Les trois autres ont roulé à leur allure qui est restée modérée sur ce circuit vallonné avec en plus, le vent. Arrivée à 12h30 avec quatre-vingt-un kilomètres au compteur.

Quant au groupe des matinaux, il a décidé de partir quand même à huit heures car il ne faisait pas chaud à attendre. Ses composants (pas électroniques) ont malheureusement connu une crevaison et surtout, plus grave, deux chutes concomitantes ; la première un cyclo qui est allé dans le décor ; la seconde deux chutes de cyclos, surpris par la première chute. Tout le monde est rentré. Pas de gravité, apparemment - question matériel un hauban cassé.

Stéphane n’a pas eu trop l’occasion de rouler depuis sa nouvelle affectation. Toutefois, il s’est remis au VTT et a pu parcourir quelques sentiers des nombreuses forêts du secteur, y compris en Allemagne, toute proche : en fait trois sorties plus courtes en distance par rapport aux Amis Cyclos Membrollais, mais avec autant de dénivelé. Cette semaine un parcours de quatre-vingt-dix kilomètres en solitaire avec onze cents mètres de dénivelé. Aujourd’hui, il s’est lancé sur une randonnée organisée par un des clubs locaux. Au total, soixante-cinq kilomètres pour sept-cent-quatre-vingt-six mètres. Après sa sortie de quatre-vingt-dix kilomètres de vendredi, il était rincé (sic), et cela lui a été bénéfique : retour des belles sensations aujourd’hui dans un décor vallonné mais très agréable similaire aux Vosges que le club a parcourues en mai.